http://apotres.amour.free.fr

 

LE CORPS TUE L'ÂME, MAIS L'ÂME TUE AUSSI LE CORPS

Dis-moi quel est ton amour, et je te dirais qui tu es. (JPII)

Dis-moi quel est ton enfance, et je te dirais qui tu seras. 

Quelle a été sa nourriture, quelle ne l'a pas été, et toi même serait à même d'étaler ton destin. 

Peut-être ne serais-tu pas, dès lors, le seul maître de ta destinée ! Ni même de tes actes ! 
Car l'ordinateur de bord du corps terrien, rempli de capteurs sensitifs, aura vite fait d'être modelé, malgré soi, par les façonniers de l'esprit que la vie aura placé sur la route de tout un chacun.

Ce serait comme avaler une substance cancérigène, insoupçonnable quant à sa dangerosité.

Dans le combat entre le Bien et le Mal, les praticiens du vice, propagateurs d´illusions chimériques, fossoyeurs de la vertu, fuyards du devoir, tous orchestrés par un être suprême, n'auront eu qu'à se saisir des commandes du cerveau, si la porte d'entrée leur a été ouverte ou défoncée.

A ton tour aujourd'hui, dans un parfait "copie coller", de reproduire le bien ou le mal, l'amour ou la haine, la construction ou la déchéance, la stabilité ou l'instabilité...

Dans un environnement permissif, ou le mal s'en trouve banalisé, les conséquences aspirent nécessairement à une thérapie de l'âme. Le seul choix salutaire, tant qu'il peut en être encore temps !

Ce serait comme si la substance cancérigène consommée sans distinction, allait jusqu'à la déclaration de la maladie.

Dans la chaîne serpentaire du mal qui conduit à l'esclavage, la déification du sexe et les films de fiction à fort pourcentage de violence et d'immoralité détiennent la palme sournoise par excellence de l´empoisonnement de l'âme et du corps à dose homéopathique.

Car une carence en nourriture saine du cerveau, aura vite fait de se traduire par l'asphyxie de l'âme. A la mort éternelle !

(J de C 2.10.2017)