QUO VADIS ?

 

FATIMA OU LE SPECTRE DU CHÂTIMENT DIVIN
FATIMA ET NINIVE

FATIMA, un nom qui interpelle dans cette actualité tragique et un message que révèle le 3eme secret plus que jamais de circonstance adressé non pas seulement aux catholiques, mais au plus commun des mortels, au delà de tout clivage socio-culturel.

Fatima, une ville à consonance musulmane pour avoir pris le nom d'une jeune-fille mauresque convertie au catholicisme au 12ème siècle. Il est à souligner par ailleurs, que la fille du prophète Mahomet se prénommait également Fatima.

Jonas fut écouté par les habitants de NINIVE, dans sa mission de Repentir, Qu'en est-il de la supplique(*) de Notre Dame de Fatima "PÉNITENCE PÉNITENCE PÉNITENCE" ? (*)proférée par l'ange

A noter qu´à Lourdes, l'Immaculée Conception à également demandé la repentance.

Notre chronique Babylone et Ninive (Mossoul en Irak) se veut d'être plus explicite :

BABYLONE ET NINIVE
LE DESORDRE

L'écriture dans la Bible " tourne " à la manière slave, comme une spirale. C'est à dire que, durant la lecture, pour un événement rapporté, des informations complémentaires viendront se succéder au sujet d'origine.
C'est le cas de la vie de Jésus, commentée de façon différente par les 4 évangélistes qui sont St Luc, St Matthieu, St Marc et St Jean ! Dans cette première partie du nouveau Testament, les 4 Ecrits relatent une même période.

Il y a aussi des faits racontés qui vont " revenir ", dans la narration ou avec l'écoulement du temps, parachevés de détails ou d'événements. Cela peut être le cas, à la source, de révélations. Prenons l'exemple d'Isaïe qui annonce la venue du Messie : "Voici, la jeune femme est enceinte, elle va enfanter un fils et elle lui donnera le nom d'Emmanuel" (7, 14). Le prophète insiste un peu plus loin : "Un rejeton sortira de la souche de Jessé, un surgeon poussera de ses racines. Sur lui reposera l'Esprit de Yahvé …" (11,1-2) Un peu plus après, il "revient en arrière" ou plutôt va poursuivre sa "vision" de l'avenir : "parce qu'il s'est livré lui même à la mort et qu'il a été compté parmi les criminels alors qu'il portait le péché des multitudes et qu'il intercédait pour les criminels "(53, 12) Au tout début de son livre, Isaïe disait : "Le bœuf connaît son possesseur, et l'âne la crèche de son maître …"(1,3)
Bien sûr, nous connaissons la suite de l'histoire (la belle), où nous retrouvons, un peu plus tard, le bœuf et l'âne auxquels vont s'adjoindre les personnages annoncés, Marie et l'Enfant Jésus.

Prenons le cas aussi de Saint Jean Baptiste qui a précédé le Christ pour L'annoncer. Les paroles qu'il a prononcées ont marqué le fait : "Repentez-vous, car le Royaume des cieux est tout proche". Son action avait été prophétisée par Isaïe, "Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers…"

A Medjugorje, la Vierge Marie est intervenue pour la première fois un 24 juin, fête de Saint Jean Baptiste. Comme lui, Marie ne prépare-t-elle pas les chemins de la seconde venue du Christ, elle aussi annoncée ? Ses messages dans lesquels se révèle le mot CONVERSION, non seulement en provenance de Medjugorje mais aussi de toutes les parties du monde où Elle est apparue, semblent l'affirmer.

A un énième tour de la " spirale ", Babel nous revient, lieu où les fils de Noé voulurent élever une tour pour atteindre le ciel, afin d'être comme Dieu ou plus haut que Dieu. La suite est connue, le Tout Puissant a anéanti leurs efforts par le trouble du langage.
Babylone dont le mot hébreu est Babel, symbole de la confusion, se situe à 160 kms de Bagdad.
Le conflit en Irak n'a pas opposé uniquement l'alliance Anglo-Américaine aux Irakiens ; aux partisans de la guerre, se sont vus opposer les manifestants pour la paix. Les nations, leurs pouvoirs politiques, ont montré aussi leur différence, notamment l'Europe qui a été ébranlée dans son élan d'unification, sans référence à Dieu et aux racines chrétiennes, comme en témoigne sa charte.
Une précision quant à "l'utilisation" de Dieu, il ne s'agit pas de s'en servir mais de Le servir avec une fidélité qui soit conforme à Sa loi d'Amour. Babel, elle même "spirale", qui, selon le point de départ donné, peut provoquer l'effet inverse du but recherché, s'éloigner de Dieu au lieu de s'en approcher.

Autre " symbole " de la désobéissance à Dieu, Ninive, également située en Irak (Mossoul), qui se convertit face à l'admonestation de Jonas, et qui évita ainsi le châtiment de Dieu.
Comment ne pas entendre aujourd'hui cette ancienne ville de Mésopotamie berceau des civilisations et terre d'Abraham, raisonner dans la "spirale", par sa détermination de resurgir; comment n'y verrait-on pas, par la frontière que l'homme met aujourd'hui entre lui et Dieu, quelque chose de déjà vu.
Jonas, lui, avait été écouté ! Cela n'est apparemment pas le cas des appels de la Vierge Marie dont l'écho laisse entrevoir une échéance, celle de la deuxième venue du Christ et de Sa justice.
Après Jonas, Jésus montre le chemin du salut. A propos de sa résurrection, il dira: "Cette génération est une génération mauvaise; elle demande un signe, et de signe, il ne lui sera donné que le signe de Jonas. Car, tout comme Jonas devint un signe pour les Ninivites, de même le Fils de l'homme en sera un pour cette génération."(Luc 11,29)
Mais devinant les appels sourds de Sa Mère, Il dira aussi : "La reine du Midi se lèvera lors du Jugement avec les hommes de cette génération et elle les condamnera, car elle vint des extrémités de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici plus que Salomon ! Les hommes de Ninive se dresseront lors du Jugement avec cette génération et ils la condamneront, car ils se repentirent à la proclamation de Jonas, et il y a ici plus que Jonas !"(Luc 11,31)

Comment ne pas citer aussi Nabuchodonosor, roi de Babylone qui éleva une statue en or pour la placer dans le coeur des hommes, à la place du Vrai Dieu, comme ce fut le cas au temps de Moïse, avec le veau d'or. L'histoire là aussi se répète, et se répète encore aujourd'hui. Le prophète Daniel qui rapporte les faits, dans la perspective du retour du Christ, ou de la fin des temps (l'un ne va pas sans l'autre)annonce aussi : "Au temps de la Fin, le roi du Midi s'affrontera avec lui; le roi du nord déferlera sur lui avec ses chars, ses cavaliers et ses nombreux navires. Il viendra dans les pays, qu'il envahira et traversera..." (11,40)
Daniel ajoute: " En ce temps là se lèvera Michel le grand prince qui se tient auprès des fils de ton peuple. Ce sera un temps d'angoisse tel qu'il n'y en aura pas eu jusqu'alors depuis que nation existe. En ce temps là, ton peuple échappera : tous ceux qui se trouveront inscrits dans le Livre."(12,1) N'y a-t-il pas là, une certaine similitude avec le troisième secret de Fatima: "Nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un Ange avec une épée de feu dans la main gauche. Elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde, mais elles s'éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame, en direction de lui. L'Ange, indiquant la terre avec sa main droite, dit d'une voix forte: Pénitence! Pénitence!, Pénitence! ..."?

Pour revenir à la guerre, dans son message du 25/2/2003, à Medjugorje, la Vierge Marie a révélé : " La Paix est un don précieux de Dieu ". Est ce à dire que lorsque la terre est en guerre, cela signifie qu'elle n'a pas mérité la paix, par la conséquence de ses actes coupables qu'aiguise l'infidélité ?

Gloire à Dieu et Paix aux hommes qu'Il aime !

J. de C. (23.03.2003)

AUTRE : TEMOIGNAGE DU PERE JOSO (1991)
"Ici, à Medjugorje, vous pouvez trouver des personnes sans salle de bains, sans électricité, sans voiture et même sans pain de chaque jour, mais vous ne trouverez pas de familles divorcées. Pourtant, nous savons que cela existe dans vos pays. Il s'est passé quelque chose d'incroyable dans l'église catholique en général, un grand dommage. L'église de notre génération a perdu des milliers de prêtres, la famille chrétienne a été détruite. Comment cela fait-il qu'au moment où les divorces ont commencé, les prêtres ont commencé aussi à disparaître. Ce n'est pas par hasard, c'est au moment même où les familles chrétiennes ont cessé de prier. "

"La France, grande Nation, est, par son baptême, responsable pour le monde entier de la foi. Ses missionnaires ont été les premiers en Asie, en Afrique, dans le monde entier.
La France est grande parce qu'elle a une grande Eglise, de grands Saints... Mais que s'est-il passé après le Concile ? La France est devenue un désert spirituel !
La France a perdu son chemin, sa direction ; elle a perdu, semble-t-il, son Prophète. Elle a perdu son orientation, et nous ressentons cela, tous. Je voudrais vous en parler comme un ami, un frère, car je sais que la Sainte Vierge le veut, car je pense qu'Elle est là pour guérir et qu'Elle est un "signe" pour votre Eglise.
Jésus est presque devenu un étranger chez vous. Beaucoup de français l'ont rejeté. C'est pour cela que, par avance, la Vierge a répété partout : "Priez le Rosaire", car le Rosaire veut dire connaître Jésus, aimer Jésus, vivre Jésus.
Moïse avait entendu la voix du Seigneur "N'aie pas peur, ton bâton, je le choisis comme le signe visible de ma Présence avec toi!" "Touche, par ton bâton cette pierre, et une source jaillira ."Touche par ton bâton cette mer, et elle s'ouvrira !"
C'était le signe de la grâce de Dieu, le signe de la force de Dieu.
Eh bien, ce signe n'est pas perdu ! Ce signe n'est cependant pas conservé au Louvre ! II est passé maintenant dans les mains de l'Eglise. La Sainte Vierge l'appelle le Rosaire, le chapelet.
Le chapelet que tu tiens dans tes mains, c'est le signe de la Présence de Dieu avec toi. Croyez-moi, votre désert peut se changer en oasis. Pour des millions de français ce signe a été perdu ...
En chaque pèlerin français, qui vient ici, la France a un nouveau Moise qui sait tenir le signe avec amour et foi, le signe qu'est le Rosaire... Que se serait-il passé si Moise avait perdu son bâton ? Plus rien ne se serait produit, car le vrai signe, c'est celui que Dieu choisit !
Marie a choisi le Rosaire. Et le Rosaire, cette prière toujours nouvelle, cette puissance de Dieu qui se déverse en nous et fait de nous un seul coeur et une seule âme, ce signe dans tes mains que tu dois mettre en tant d'autres mains... C'est le chapelet qui sauvera la France! Et tous, nous y gagnerons...! "

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Mais... à la fin, mon Cœur Immaculé triomphera !

J de C 17/07/2016

Troisième partie du "Secret de Fatima" transcrit par Soeur Lucia le 3 janvier 1944 :
"J'écris en obéissance à vous, mon Dieu, qui me le commandez par l'intermédiaire de Mgr.l'Evêque de Leira et de votre Très Sainte Mère, qui est la mienne". "Après les deux parties que j'ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un Ange avec une épée de feu dans la main gauche. Elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde, mais elles s'éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame, en direction de lui. L'Ange, indiquant la terre avec sa main droite, dit d'une voix forte: Pénitence! Pénitence!, Pénitence! Et nous vîmes dans une lumière immense qui est Dieu, quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnages dans un miroir quand elles passent devant, un Evêque vêtu de blanc. 'Nous avons eu le pressentiment que c'était le Saint-Père'. Nous avons vu divers autres évêques, prêtres, religieux et religieuses monter sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle il y avait une grande Croix en troncs bruts, comme s'ils étaient en chêne-liège avec leur écorce. Avant d'y arriver, le Saint-Père traversa une grande ville à moitié en ruine et, à moitié tremblant, d'un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les âmes des cadavres qu'il trouvait sur son chemin. Parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux au pied de la grande Croix, il fut tué par un groupe de soldats qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches. De la même manière moururent les uns après les autres les évêques, les prêtres, les religieux et les religieuses, et divers laïcs, hommes et femmes de catégories sociales différentes. Sous les deux bras de la Croix, il y avait deux Anges, chacun avec un vase de cristal à la main, dans lequel ils recueillaient le sang des Martyrs, et avec lequel ils irrigaient les âmes qui s'approchaient de Dieu".